La vengeance n’a jamais été aussi brutale dans l’histoire récente de la WWE. Après l’attaque sauvage qui avait envoyé Roman Reigns à l’hôpital lors du Clash in Paris, l’Univers du catch attendait une réaction de la famille. Cette nuit-là, elle est arrivée, et elle porte un nom : Jacob Fatu.

Dans un segment qui restera dans les mémoires, Fatu a fait irruption sur le ring alors que Bron Breakker et Bronson Reed paradaient, se vantant d’avoir détruit le Tribal Chief. Le silence s’est transformé en tonnerre lorsque la musique de Jacob a retenti, et la foule parisienne a explosé en scandant son nom.
Ce qui a suivi n’était pas un simple règlement de compte, mais une véritable exécution. Fatu, animé par une rage incontrôlable, a démoli Breakker et Reed avec une intensité rarement vue. Les coups ont plu sans relâche, chaque impact résonnant comme une déclaration : « On ne touche pas à Roman Reigns. »
Bronson Reed a été projeté contre la table des commentateurs dans une scène spectaculaire, tandis que Bron Breakker a subi un Samoan Drop d’une violence inouïe, avant d’être laissé inerte au centre du ring. Les officiels ont tenté d’intervenir, mais personne n’osait vraiment se mettre entre Jacob Fatu et sa soif de vengeance.
La foule était en délire, criant « Fatu ! Fatu ! Fatu ! » comme si elle assistait à une libération longtemps attendue. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #FatuVengeance et #JusticeForRoman ont immédiatement explosé, générant des millions de réactions en quelques minutes.
Ce moment marque peut-être un tournant majeur dans la guerre qui oppose la famille Anoa’i à la faction menée par Seth Rollins et ses alliés. Jacob Fatu s’impose désormais comme le bras armé de la Bloodline, prêt à faire payer quiconque ose s’en prendre au Tribal Chief.
Une chose est certaine : après cette nuit, plus rien ne sera pareil. Bronson Reed et Bron Breakker ne sont plus les mêmes hommes, et Roman Reigns peut compter sur un protecteur redoutable. La route vers Wrestlepalooza s’annonce plus explosive que jamais.