C’est l’un des moments les plus choquants de l’histoire récente de la WWE. La Bloodline, considérée comme la faction la plus dominante de la dernière décennie, vient d’exploser sous les yeux du monde entier. Et au centre de cette implosion : Roman Reigns, l’architecte silencieux de la trahison.
Lors de WWE SmackDown, les fans croyaient assister à une réconciliation. Roman Reigns, après plusieurs semaines d’absence, avait convoqué les Usos sur le ring, prétendant vouloir “tourner la page”. Les deux frères, visiblement émus, ont accepté de l’écouter. Mais les caméras backstage ont révélé un plan bien plus sombre.
Dans une séquence vidéo exclusive, on voit Reigns donner des instructions à Solo Sikoa avant le show : « Laisse-les penser qu’ils sont de retour dans la famille. Et quand le moment sera venu… frappe. » Quelques heures plus tard, au milieu d’un discours d’unité, Solo a brutalement attaqué Jey Uso, sous les ordres glacials de son chef.
Le public est resté figé. Jimmy, choqué, a tenté de défendre son frère, mais Roman l’a arrêté net avec un Superman Punch dévastateur. Les chants de “Bloodline is dead!” ont envahi l’arène tandis que Reigns, impassible, quittait le ring avec Solo, laissant les Usos détruits.
Les réseaux sociaux ont explosé : des milliers de fans crient à la “plus grande trahison familiale de l’histoire WWE”. Des sources internes indiquent que Roman veut “reconstruire” la Bloodline, mais avec de nouveaux membres plus obéissants, transformant la faction en un empire encore plus autoritaire.
Cette rupture marque peut-être la fin d’une ère. Les Usos, désormais seuls, ont juré vengeance. Et selon certaines rumeurs, ils pourraient former une nouvelle alliance anti-Bloodline dès le prochain RAW.
Roman Reigns, lui, n’a qu’un message : « Le sang n’est rien sans le pouvoir. »
