BRUXELLES, Belgique – 22 septembre 2025. Le tapis rouge de l’avant-première mondiale du film Les Schtroumpfs était déjà un tourbillon de peluches bleues et de glamour miniature : Rihanna prêtait sa voix à l’impertinente Schtroumpfette, A$AP Rocky se pavanait dans un costume ERL sur mesure qui criait la haute couture de Harlem, et une horde de paparazzis écumant à la bouche pour la moindre miette de leur saga familiale de conte de fées. Mais lorsque Kevin Frazier d’Entertainment Tonight a lancé une grenade sournoise – « C’est la fille que vous attendiez ? » – tandis que Rocky serrait une poupée Schtroumpfette comme un talisman, la réponse du rappeur a explosé comme un lancement de Fenty Beauty. « En tant que papa de filles, j’ai une fille ! » a-t-il failli crier, sa voix brisée par une exaltation non filtrée, les yeux rivés sur le ventre radieux de Rihanna alors qu’elle étouffait un rire derrière sa main. La foule a haleté, les appareils photo ont brillé comme des flashs lors d’une after-party de Coachella, et c’est ainsi que la rumeur de grossesse la plus ancienne d’Internet s’est confirmée : Rihanna Fenty, 37 ans, et A$AP Rocky, 36 ans, attendent une petite fille – leur première fille, leur troisième enfant. Dans un moment à la fois faux pas et sérénade, l’explosion de Rocky a propulsé #RihannaBabyGirl au sommet du classement mondial, avec 300 millions de vues rien que pour la vidéo. Les fans inondent TikTok de fan-arts révélant le sexe de leur bébé, des tétines incrustées de diamants aux mini-grenouillères Savage x Fenty, tandis que la progéniture recomposée du couple – RZA, 3 ans, et Riot Rose, 2 ans – se tient prête pour sa princesse. Est-ce le rebondissement ultime du manifeste de maternité de RiRi ? Ou juste un autre chapitre de leur histoire d’amour improvisée ? Une chose est sûre : dans un monde en manque de vraie joie, le cri de Rocky est le micro que nous attendions tous.

Pour décrypter le chaos électrique de cette bombe bruxelloise, revenons sur les marches baignées de soleil du Met Gala du 5 mai 2025, une soirée où l’élite de la mode s’est réunie sous le thème « Superfine : Tailoring Black Style », mais Rihanna a volé la vedette sans même y penser. Toujours en retard, elle s’est glissée au bras de Rocky, sa robe Guo Pei rouge cramoisi fendue jusqu’au ciel, une main manucurée posée de manière protectrice sur son ventre rond, subtil mais reconnaissable entre mille. Les rumeurs couvaient depuis des semaines : des photos de paparazzi prises lors d’une escapade à la plage à la Barbade en avril, où son haut de bikini tirait un peu trop ; des fuites d’initiés auprès de TMZ concernant des « rencontres Fenty nocturnes » servant également à préparer un babymoon. Mais Rocky a scellé le coup sur le tapis rouge, sa voix rauque s’adressant à l’Associated Press : « Il est temps de montrer au public ce que nous mijotions. Rihanna est radieuse, sa famille prospère – que Dieu vous bénisse.» Pas de thé sur le genre, juste une fierté pure et protectrice, tandis qu’il la protégeait de la frénésie médiatique. Rihanna, toujours énigmatique, a joué la coquette lors d’une conversation avec Vogue après l’événement : « La maternité est ma collaboration préférée jusqu’à présent. Cette petite a déjà le rythme – elle danse sur “Diamonds” in utero.» La révélation ? Un coup de maître : transformer les couloirs en marbre du Met en annonce personnelle de naissance non genrée, avec 50 millions d’impressions sur Instagram du jour au lendemain. Les fans ont craqué : « RiRi enceinte à nouveau ? Une époque emblématique est révolue !» a fait le buzz, générant des mèmes présentant son ventre rond comme la huitième merveille du monde. Quatre mois plus tard, sa grossesse a été une véritable leçon de maternité pour les magnats : Rihanna jonglait entre les rumeurs d’introduction en bourse de Fenty Beauty à 3 milliards de dollars, la collection Savage x Fenty pour les fêtes, dévoilée dans des bodys transparents, et des marches rapides prénatales à Los Angeles où son ventre rond vole la vedette à tout entourage. Ce shooting HommeGirls fin août ? Du feu pur : ses courbes du troisième trimestre drapées de chaînes de ventre perlées qui cascadaient comme de l’or liquide, des soutiens-gorge transparents de sa propre ligne qui épousaient chaque centimètre carré, et des perruques plus extravagantes qu’un rêve de vidéo Work. « Bump & Grind », titrait l’éditorial, avec RiRi se prélassant dans des cargos roses oversize qui faisaient hurler « girl alert ! » par les détectives sur tous les toits. « Ma prochaine tueuse de la mode », a-t-elle légendé le carrousel Instagram, une galerie de 20 diapositives de BTS qui a fait planter les serveurs et récolté 25 millions de likes. Était-ce un indice ? Français La palette rose, les moues espiègles… les fans l’ont disséquée comme un Da Vinci code, inondant les sections de commentaires avec “Rose pour princesse ? Crache, Ri !” Mais Rihanna, reine de la combustion lente, a objecté dans un portrait de Rolling Stone : “Dieu a le plan. Garçon, fille, tout est amour. Mais oui, Rocky a manifesté son mini-moi avec des nœuds.” Leurs garçons ? D’adorables complices dans le teasing : RZA, la tornade surnommée Wu-Tang, repérée sur des photos de paparazzi “aidant” maman avec des tests de gloss Fenty ; Riot Rose, la “sauvage”, dégringolant dans un parc de Harlem avec Rocky, qui berçait le ventre de Rihanna comme un Grammy.
Français Ce qui nous amène à Bruxelles, où le barrage a finalement cédé. L’avant-première des Schtroumpfs était une affaire de famille en or : Rihanna canalisant la bombe bleue qui est en elle dans une robe Chanel transparente qui dévoilait son ventre comme un insigne d’honneur, Rocky dans un smoking matelassé en clin d’œil à ses racines Don’t Be a Menace, et le couple posant avec des co-stars miniatures qui l’ont surnommée « Maman Schtroumpf ». Mais la pique de Frazier, lancée au milieu des transmissions de poupées Schtroumpfette, a pris Rocky au dépourvu. « C’est la fille que vous attendiez ? » a souri le présentateur d’ET, le micro avancé. Le visage de Rocky s’est illuminé comme un plongeon de scène – les yeux écarquillés, un sourire éclatant d’une oreille à l’autre. « En tant que papa de filles, j’ai une fille ! » a-t-il hurlé, les mots dégringolant avant qu’il ne puisse les retenir, pompant la poupée comme un drapeau de la victoire. Rihanna, au milieu d’une gorgée d’eau pétillante, s’étrangla de rire en lui tapant le bras d’un air enjoué : « Rak, tu ne peux pas juste… ! » La foule explosa : roucoulements des co-stars, cris de joie de l’équipe, et une vidéo virale qui a maintenant été tournée 400 millions de fois. Rocky fit marche arrière avec un clin d’œil : « La Schtroumpfette me fait planer. Mais ouais, mec, quelle bénédiction. Rihanna porte notre lumière. » Plus tard, auprès de People, il répéta (en quelque sorte) : « La famille, c’est tout. Celle-ci est spéciale, j’ai déjà le feu Fenty. » Le faux pas ? Un coup d’or accidentel, parfaitement synchronisé avec un monde las des révélations scénarisées. Pas de machines à fumée ni d’explosions de gâteaux, juste une joie brute, authentique, digne d’un rappeur.
L’histoire derrière l’extase de Rocky ? Une lettre d’amour à l’héritage, empreinte de rêves de longue date. Français De retour lors d’une interview en 2024, Rihanna s’est confiée sur la relation mère-garçon : « RZA et Riot ? Mon cœur bat la chamade. Mais si Dieu est de mèche, j’essaierais d’avoir ma copine, quelqu’un à qui passer la couronne, tu sais ? » Rocky, toujours poète, a fait écho dans un article de GQ : « Deux rois au château ? Génial. Mais une princesse ? Ça couronnerait le royaume. » Leur saga a été une romance qui mijote lentement : Sparks en 2016 sur le tournage de Fashion Killa, où les rimes de Rocky ont rencontré le règne de RiRi ; un lancement en force en 2020 au milieu de la passion pandémique ; des vœux à la Barbade en 2023 sous les cocotiers, avec Drake qui trinque et Travis Scott qui mixe. RZA Athelston est arrivé en mai 2022, un miracle de l’hôpital de Harlem nommé d’après le sage Wu ; Riot Rose, août 2023, le « rose » est un clin d’œil au côté plus doux de Rocky. La paternité a transformé Rocky, autrefois expert en style fanfaron avec l’empire Testing et AWGE, en un adepte des couches. « Ces garçons m’ont appris la tendresse », rappait-il dans un couplet inédit fuité le mois dernier. « Maintenant, une fille va m’apprendre les paillettes. » Des sources proches du dossier murmurent que des échographies de genre ont scellé le scandale : une échographie de 20 semaines en juillet, des confettis roses dans un jet privé en route pour Coachella, où Rihanna a dévoilé une robe Balenciaga révélant son ventre rond. « Rocky a fait son nid plus dur qu’elle », confie une source. « Des berceaux sur mesure en velours rose poudré, des grenouillères Fenty monogrammées « Queen R ». »
L’effet ? Un raz-de-marée de tendresse et de colères en ligne. X (anciennement Twitter) est un champ de bataille de bonheur : les mèmes #GirlDadRocky écrasent Rocky avec des couronnes de couches, les fans photoshopent des mini RiRi en tutus ; les duos TikTok synchronisent son cri sur « Umbrella », et les arcs-en-ciel pleuvent les likes. L’équipe de célébrités est à fond dedans : Beyoncé : « Couronne en approche 👑 » ; Travis : « Devoirs d’oncle activés : s’incline ou pas » ; même Grimes : « Le pouvoir galactique des filles. » Mais l’ombre ? Elle mijote dans les recoins conservateurs : « Papa fille ? Le programme woke d’Hollywood », lancent les trolls avec ironie, s’accrochant à des publications qui serrent les perles. Les féministes ripostent : « C’est le programme : la joie sans jugement. » Les ventes explosent aussi : les soutiens-gorge « Bump Boss » de Savage x Fenty ont augmenté de 250 %, les enlumineurs rosés de Fenty Beauty s’envolent comme des copies « baby girl glow ». Et le jeu des noms ? L’allusion timide de Rihanna à Hello ! : « Toujours un R — Rocky et moi, on ne se dispute pas pour ça.» Les spéculations vont bon train : Rumi (clin d’œil aux racines de Rocky) ? Raven (pour la rebelle) ? Ou Rihanna Jr. tout court, avec une touche d’originalité ? « Ça va rimer avec feu », a laissé entendre Rocky dans un live Instagram après la première, berçant la poupée Schtroumpfette comme une prophétie.
Pourtant, sous le buzz bat un rythme plus profond : le projet de Rihanna et Rocky pour l’excellence noire, sans complexe et en pleine expansion. C’est la patronne milliardaire – 1,7 milliard de dollars provenant de l’empire inclusif de Fenty, un triomphe au Super Bowl qui continue de générer des milliards – qui canalise désormais cet argent en mode maman : Pilates prénatal dans son havre de paix à Hollywood Hills, berceuses barbadiennes pour les garçons et briefings de salle de conseil entre deux Braxton Hicks. Rocky ? Le présentateur – tout juste sorti d’une sortie de luxe chez Testing et d’extensions AWGE, il a troqué les bus de tournée contre des acrobaties pour les tout-petits, écrivant des couplets sur « le petit diamant de papa ». Leur lien ? Forgé dans le feu – des ombres de Chris Brown au bonheur de la coparentalité sans garde à vue. « Rihanna est ma muse, mon miroir », a rimé Rocky lors d’une soirée d’écoute AWGE en juin. « Trois enfants ? Toujours à la poursuite de son éclat. » À l’approche du troisième trimestre – les rumeurs concernant la date d’accouchement annoncent novembre, sous les étoiles sensuelles du Scorpion – leur palais se prépare : une chambre d’enfant à Bridgetown avec vue sur la mer, des fresques murales dans la salle de jeux de Harlem réalisées par les héritiers de Basquiat. Ciara, qui vient tout juste de mettre fin à une dispute vieille de dix ans, a confié à E! : « Ils planifient déjà un quatrième bébé ; Rih a cette vision du village.»
Au final, le cri bruxellois de Rocky n’est pas seulement une révélation de genre, c’est un évangile de gratitude, un cri sur tous les toits qui annonce que l’amour monte d’un cran. Alors que Rihanna se caresse le ventre sur un balcon bruxellois, les étoiles scintillant comme des pixels de paparazzi, elle murmure à Rocky : « Notre fille va régner.» Le monde ? Accrochée, le cœur dans les mains, attendant le cri qui couronnera la reine. Dans le royaume de RiRi, chaque révélation est une révolution, et celle-ci nous fait tous hurler de joie. Et après ? Un album de berceuses agrémenté de remix d’Anti ? Ou Rocky rappant des rimes pour sa rose ? Une vérité éclate : dans le Fenty forever, le girl power vient de recevoir une mise à niveau royale. Brille, petite, le trône t’attend.