DERNIÈRES NOUVELLES : Des scientifiques dévoilent la vérité sur le mystère du crash du vol Air India 171 — et nous avons été trompés depuis le début.
Ces faits choquants révèlent ce que nous ignorions… et bouleversent tout ce que nous pensions comprendre de la catastrophe.
La vérité est enfin révélée — et ce n’est pas celle à laquelle vous vous attendiez.
Les régulateurs de l’aviation occidentaux aux États-Unis, au Royaume-Uni et en France auraient exprimé des inquiétudes quant à la transparence de l’enquête sur le crash du Boeing 787 Dreamliner menée par les autorités indiennes. Selon deux sources proches du dossier, interrogées par le Corriere della Sera, des craintes subsistent quant à l’influence des pressions politiques locales sur l’enquête et son rapport final.
Ces inquiétudes sont nées de la gestion des deux boîtes noires, qui n’ont été envoyées ni aux États-Unis ni en France, malgré l’expertise reconnue de ces deux pays en la matière. À cela s’ajoute le récent refus des observateurs de l’OACI de participer à l’enquête.
Préoccupations concernant la gestion des boîtes noires
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Selon le Corriere, la principale préoccupation exprimée par les autorités occidentales concernait la gestion des boîtes noires. Des sources occidentales soulignent que les laboratoires indiens sont flambant neufs, n’ayant ouvert que le 9 avril 2025. Ce qui ressort, cependant, est la décision de l’Inde d’extraire les données des boîtes noires localement, plutôt que de les envoyer à des installations plus expérimentées en France ou aux États-Unis, comme c’est habituellement le cas. La France a recommandé son laboratoire BEA, mais la proposition a été rejetée par les autorités indiennes, selon le rapport.
Les enquêteurs indiens ont commencé à analyser les données des deux boîtes noires récemment récupérées sur le site du crash, près du complexe hospitalier civil d’Ahmedabad, où le Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India s’est écrasé quelques minutes après son décollage. Cette analyse est menée par l’AAIB indien, avec le soutien du National Transportation Safety Board (NTSB) américain. Le fait que le Bureau indien d’enquête sur les accidents d’aviation (AAIB) dépende du ministère de l’Aviation civile ajoute à l’inquiétude, ce qui soulève des questions quant à son indépendance, selon le Corriere.
L’Inde empêcherait un observateur de l’OACI de participer à l’enquête
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L’Inde a empêché un observateur de l’OACI d’aider à l’enquête sur le crash du Boeing 787-8 Dreamliner, ont déclaré à Reuters deux sources proches du dossier le 27 juin 2025. Dans une démarche inhabituelle, l’agence de l’aviation des Nations Unies a offert l’aide de l’un de ses enquêteurs pour l’enquête sur le crash.
Selon Reuters, c’est la première fois que l’OACI demande à être directement impliquée dans une enquête. La dernière fois que des enquêteurs de l’OACI ont participé à des enquêtes sur des accidents aériens, c’était lors d’affaires comme la destruction d’un Boeing 777-300ER de Malaysia Airlines en 2014 et d’un Boeing 737 d’Ukrainian International Airlines en 2020, mais dans ces accidents, l’agence avait été officiellement invitée à apporter son aide.
Le Bureau indien d’enquête sur les accidents d’aviation (AAIB) mène l’enquête sur la catastrophe aérienne la plus meurtrière au monde depuis dix ans. Parmi les autres autorités participant à l’enquête figurent le National Transportation Safety Board (NTSB) des États-Unis et l’Air Accidents Investigation Branch (AAIB) du Royaume-Uni, qui a le statut d’« expert » dans l’enquête de sécurité indienne. Conformément aux protocoles internationaux, la divulgation des informations relatives à l’enquête sur le crash aérien relève de la seule compétence des autorités indiennes.