Les relations tumultueuses de Chris Brown avec ses ex-petites amies, Rihanna et Karrueche Tran, ainsi que son passé criminel sont utilisés contre lui dans sa bataille juridique à 500 millions de dollars, comme le rapporte In Touch en exclusivité.
Les producteurs du documentaire Chris Brown: A History of Violence (2024), ainsi que Warner Bros. (propriétaire de Discovery, où le film a été diffusé), ont présenté de nouvelles preuves au tribunal, obtenues par In Touch, dans le cadre de leur action en justice pour faire rejeter la plainte en diffamation de Chris.
Comme l’a initialement rapporté In Touch, Chris, 35 ans, a poursuivi les producteurs et le studio, ainsi qu’une femme qui avait obtenu le rejet de sa plainte pour agression sexuelle, pour diffamation et infliction intentionnelle de détresse émotionnelle. Le musicien a affirmé que le film l’avait faussement qualifié de « violeur en série et agresseur sexuel ». Il a affirmé que le film mettait en scène une femme qui l’avait précédemment accusé d’agression sexuelle.
Chris a déclaré que les allégations de la femme avaient été « considérées comme entièrement inventées, ce qui a conduit au retrait de ses avocats et au classement sans suite de l’affaire le 25 août 2022, après qu’un inspecteur de la police de Miami Beach a découvert des SMS envoyés par [Jane] révélant sa malhonnêteté.» La chanteuse a affirmé que malgré cela, les producteurs l’avaient incluse dans le documentaire.
L’avocat de Chris a ajouté : « M. Brown n’a jamais été reconnu coupable d’un quelconque crime sexuel (viol, agression sexuelle, etc.), mais ce documentaire affirme par tous les moyens possibles qu’il est un violeur et un agresseur sexuel en série.»
Comme l’a rapporté In Touch, Warner Bros. et les producteurs ont nié toute allégation de malversation.
Un avocat des sociétés a fait valoir : « Les allégations de [Chris] sont irrecevables, en tout ou en partie, dans la mesure où toute déclaration et/ou insinuation présumée qui les fonde pourrait être interprétée comme l’affirmation de faits vérifiables, que ces faits ne sont pas matériellement faux et/ou sont substantiellement vrais. »
Dans des documents judiciaires récemment déposés et obtenus par In Touch, Warner Bros. et les producteurs ont soumis une série d’articles de presse sur les démêlés judiciaires de Chris Brown au fil des ans.
Leur avocat a déclaré : « Toutes ces pièces à conviction sont constituées d’articles de presse, ou d’autres médias, publiés en ligne sur l’œuvre en cause dans cette affaire et son sujet, à savoir le documentaire et le reportage largement médiatisé sur les antécédents criminels de Chris Brown et ses violences envers les femmes. Elles sont présentées pour démontrer que la plainte découle d’actes visant à promouvoir la liberté d’expression des défendeurs. »
